
Rétrospective 2024
D’un mois à l’autre, plusieurs équipes se partagent la tâche d’étudier, de protéger et de faire découvrir le parc marin. De nombreux projets contribuent à la mission du parc marin grâce à la participation de plusieurs organisations passionnées et investies dans la protection des milieux marins.
Plongez dans cette rétrospective afin de découvrir la variété d’activités qui ont marqué l’année 2024 du parc marin.
Des citoyens du Bas-Saint-Laurent ont été étonnés d’observer une plus grande présence de phoque du Groenland près du rivage. Ces mammifères ont notamment été aperçus face au Kamouraska et à Rivière-du-Loup.
À peine quelques heures de 2024 s’étaient écoulées qu’un observateur aguerri de la Côte-Nord avait déjà repéré sa première baleine de l’année : un rorqual commun.
Des citoyens du Bas-Saint-Laurent ont été étonnés d’observer une plus grande présence de phoque du Groenland près du rivage. Ces mammifères ont notamment été aperçus face au Kamouraska et à Rivière-du-Loup.
À peine quelques heures de 2024 s’étaient écoulées qu’un observateur aguerri de la Côte-Nord avait déjà repéré sa première baleine de l’année : un rorqual commun.
Des citoyens du Bas-Saint-Laurent ont été étonnés d’observer une plus grande présence de phoque du Groenland près du rivage. Ces mammifères ont notamment été aperçus face au Kamouraska et à Rivière-du-Loup.
À peine quelques heures de 2024 s’étaient écoulées qu’un observateur aguerri de la Côte-Nord avait déjà repéré sa première baleine de l’année : un rorqual commun.

Des phoques du Groenland se reposant sur les glaces. Crédit : JC Lemay
Une importante mission scientifique de 15 jours s’est déroulée dans le fjord du Saguenay. 13 projets ont été menés simultanément afin d’étudier les impacts de la navigation commerciale et des activités portuaires sur cet écosystème vulnérable aux changements climatiques. 30 chercheurs et chercheuses appartenant à 21 institutions ont participé à cet effort de recherche hivernal. Deux artistes en photographie étaient aussi à bord à des fins de vulgarisation et de diffusion. Cette mission a été organisée en collaboration entre le Réseau Québec maritime et le programme Transformer l’action pour le climat.
Une importante mission scientifique de 15 jours s’est déroulée dans le fjord du Saguenay. 13 projets ont été menés simultanément afin d’étudier les impacts de la navigation commerciale et des activités portuaires sur cet écosystème vulnérable aux changements climatiques. 30 chercheurs et chercheuses appartenant à 21 institutions ont participé à cet effort de recherche hivernal. Deux artistes en photographie étaient aussi à bord à des fins de vulgarisation et de diffusion. Cette mission a été organisée en collaboration entre le Réseau Québec maritime et le programme Transformer l’action pour le climat.
Une importante mission scientifique de 15 jours s’est déroulée dans le fjord du Saguenay. 13 projets ont été menés simultanément afin d’étudier les impacts de la navigation commerciale et des activités portuaires sur cet écosystème vulnérable aux changements climatiques. 30 chercheurs et chercheuses appartenant à 21 institutions ont participé à cet effort de recherche hivernal. Deux artistes en photographie étaient aussi à bord à des fins de vulgarisation et de diffusion. Cette mission a été organisée en collaboration entre le Réseau Québec maritime et le programme Transformer l’action pour le climat.

Des membres de la Mission Horizon Glacé en action sur la glace de la rivière Saguenay. Crédit : Drowster
De nombreux pêcheurs se passionnent pour un défi de taille : celui de la pêche hivernale au flétan atlantique à des fins scientifiques. Un projet initié par Comité de bassin de la baie des Ha! Ha!.
Chaque hiver, les pêcheurs contribuent aussi au suivi de l’état des populations de poissons de fonds en donnant accès à leurs prises. Des employés du parc font la tournée des sites de pêche pour recueillir des informations sur les différentes espèces capturées. Ces informations sont ensuite transmises à Pêches et Océans Canada qui surveille l’état des populations afin de s’assurer que cette activité se pratique de manière durable.
De nombreux pêcheurs se passionnent pour un défi de taille : celui de la pêche hivernale au flétan atlantique à des fins scientifiques. Un projet initié par Comité de bassin de la baie des Ha! Ha!.
Chaque hiver, les pêcheurs contribuent aussi au suivi de l’état des populations de poissons de fonds en donnant accès à leurs prises. Des employés du parc font la tournée des sites de pêche pour recueillir des informations sur les différentes espèces capturées. Ces informations sont ensuite transmises à Pêches et Océans Canada qui surveille l’état des populations afin de s’assurer que cette activité se pratique de manière durable.
De nombreux pêcheurs se passionnent pour un défi de taille : celui de la pêche hivernale au flétan atlantique à des fins scientifiques. Un projet initié par Comité de bassin de la baie des Ha! Ha!.
Chaque hiver, les pêcheurs contribuent aussi au suivi de l’état des populations de poissons de fonds en donnant accès à leurs prises. Des employés du parc font la tournée des sites de pêche pour recueillir des informations sur les différentes espèces capturées. Ces informations sont ensuite transmises à Pêches et Océans Canada qui surveille l’état des populations afin de s’assurer que cette activité se pratique de manière durable.

Une agente en gestion des ressources de Parcs Canada mesure la taille d’un poisson.
L’arrivée du printemps rime avec l’ajout de nouveaux partenaires dans la réalisation du suivi des oiseaux côtiers du parc marin. Dorénavant, cinq organisations participent à ce suivi : l’Observatoire d’oiseaux de Tadoussac, l’Observatoire d’Oiseaux de Rimouski, Parcs Canada, la Première Nation des Innus d’Essipit et la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk. C’est maintenant un total de 36 sites d’observation qui sont couverts par les équipes, de La Malbaie à Portneuf-sur-Mer sur la rive nord du Saint-Laurent, et de Rivière-Ouelle à Métis-sur-Mer sur la rive sud. Grâce à cette collaboration, le territoire à l’étude a doublé en superficie.
L’arrivée du printemps rime avec l’ajout de nouveaux partenaires dans la réalisation du suivi des oiseaux côtiers du parc marin. Dorénavant, cinq organisations participent à ce suivi : l’Observatoire d’oiseaux de Tadoussac, l’Observatoire d’Oiseaux de Rimouski, Parcs Canada, la Première Nation des Innus d’Essipit et la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk. C’est maintenant un total de 36 sites d’observation qui sont couverts par les équipes, de La Malbaie à Portneuf-sur-Mer sur la rive nord du Saint-Laurent, et de Rivière-Ouelle à Métis-sur-Mer sur la rive sud. Grâce à cette collaboration, le territoire à l’étude a doublé en superficie.
L’arrivée du printemps rime avec l’ajout de nouveaux partenaires dans la réalisation du suivi des oiseaux côtiers du parc marin. Dorénavant, cinq organisations participent à ce suivi : l’Observatoire d’oiseaux de Tadoussac, l’Observatoire d’Oiseaux de Rimouski, Parcs Canada, la Première Nation des Innus d’Essipit et la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk. C’est maintenant un total de 36 sites d’observation qui sont couverts par les équipes, de La Malbaie à Portneuf-sur-Mer sur la rive nord du Saint-Laurent, et de Rivière-Ouelle à Métis-sur-Mer sur la rive sud. Grâce à cette collaboration, le territoire à l’étude a doublé en superficie.

Garrots d’Islande Crédit : Mathilde Crépin
Diverses activités débutent sur les berges du parc marin. Des nettoyages de plage sont réalisés avec la contribution de riverains engagés, d’enfants motivés et d’organisations environnementales. Grâce à la collaboration de tous, plusieurs kilogrammes de déchets ont été retirés de la nature.
Au même moment, d’autres membres de l’équipe de Parcs Canada entame la récolte d’échantillons pour un suivi scientifique sur les moules. La technique consiste à faire une biopsie liquide (un prélèvement de globules blancs et de plasma) pour connaître l’état de santé de ces mollusques et de leur habitat. Il s’agit d’une méthode développée par le chercheur en cancérologie, Yves St-Pierre, et d’un projet mené par l’Institut national de la recherche scientifique (INRS).
Diverses activités débutent sur les berges du parc marin. Des nettoyages de plage sont réalisés avec la contribution de riverains engagés, d’enfants motivés et d’organisations environnementales. Grâce à la collaboration de tous, plusieurs kilogrammes de déchets ont été retirés de la nature.
Au même moment, d’autres membres de l’équipe de Parcs Canada entame la récolte d’échantillons pour un suivi scientifique sur les moules. La technique consiste à faire une biopsie liquide (un prélèvement de globules blancs et de plasma) pour connaître l’état de santé de ces mollusques et de leur habitat. Il s’agit d’une méthode développée par le chercheur en cancérologie, Yves St-Pierre, et d’un projet mené par l’Institut national de la recherche scientifique (INRS).
Diverses activités débutent sur les berges du parc marin. Des nettoyages de plage sont réalisés avec la contribution de riverains engagés, d’enfants motivés et d’organisations environnementales. Grâce à la collaboration de tous, plusieurs kilogrammes de déchets ont été retirés de la nature.
Au même moment, d’autres membres de l’équipe de Parcs Canada entame la récolte d’échantillons pour un suivi scientifique sur les moules. La technique consiste à faire une biopsie liquide (un prélèvement de globules blancs et de plasma) pour connaître l’état de santé de ces mollusques et de leur habitat. Il s’agit d’une méthode développée par le chercheur en cancérologie, Yves St-Pierre, et d’un projet mené par l’Institut national de la recherche scientifique (INRS).

Nettoyage de plage réalisé à Baie-Sainte-Catherine dans Charlevoix.
Cette nouvelle activité d’interprétation permet aux visiteurs de découvrir la vie sociale des bélugas par des images inédites issues de la recherche scientifique. Les images captées par les équipes scientifiques sont retransmises vers des sites d’observation où des naturalistes invitent les visiteurs à voir les bélugas autrement.
L’activité est offerte au parc national du Fjord-du-Saguenay dans le secteur de la Baie-Sainte-Marguerite, au site d’observation des bélugas Putep ‘t-awt à Cacouna et au Centre d’interprétation des mammifères marins à Tadoussac. Plus de 10 500 visiteurs ont eu l’occasion de vivre cette activité unique en 2024!
Cette nouvelle activité d’interprétation permet aux visiteurs de découvrir la vie sociale des bélugas par des images inédites issues de la recherche scientifique. Les images captées par les équipes scientifiques sont retransmises vers des sites d’observation où des naturalistes invitent les visiteurs à voir les bélugas autrement.
L’activité est offerte au parc national du Fjord-du-Saguenay dans le secteur de la Baie-Sainte-Marguerite, au site d’observation des bélugas Putep ‘t-awt à Cacouna et au Centre d’interprétation des mammifères marins à Tadoussac. Plus de 10 500 visiteurs ont eu l’occasion de vivre cette activité unique en 2024!
Cette nouvelle activité d’interprétation permet aux visiteurs de découvrir la vie sociale des bélugas par des images inédites issues de la recherche scientifique. Les images captées par les équipes scientifiques sont retransmises vers des sites d’observation où des naturalistes invitent les visiteurs à voir les bélugas autrement.
L’activité est offerte au parc national du Fjord-du-Saguenay dans le secteur de la Baie-Sainte-Marguerite, au site d’observation des bélugas Putep ‘t-awt à Cacouna et au Centre d’interprétation des mammifères marins à Tadoussac. Plus de 10 500 visiteurs ont eu l’occasion de vivre cette activité unique en 2024!

L’équipe du GREMM effectue leur travail de recherche, tout en diffusant en direct leurs images au public de Fenêtre sur les bélugas. Crédit : GREMM
Le mois de juillet est la période des naissances chez les bélugas. Afin de sensibiliser les plaisanciers aux pratiques de navigation à adopter dans l’habitat de ces baleines blanches, des agents des pêches de Pêches et Océans Canada et des gardes de parc de Parcs Canada ont uni leurs forces pour une 10ème année consécutive. Ce sont plus de 320 plaisanciers qui ont été sensibilisés lors de ces 9 jours de patrouilles.
Le mois de juillet est la période des naissances chez les bélugas. Afin de sensibiliser les plaisanciers aux pratiques de navigation à adopter dans l’habitat de ces baleines blanches, des agents des pêches de Pêches et Océans Canada et des gardes de parc de Parcs Canada ont uni leurs forces pour une 10ème année consécutive. Ce sont plus de 320 plaisanciers qui ont été sensibilisés lors de ces 9 jours de patrouilles.
Le mois de juillet est la période des naissances chez les bélugas. Afin de sensibiliser les plaisanciers aux pratiques de navigation à adopter dans l’habitat de ces baleines blanches, des agents des pêches de Pêches et Océans Canada et des gardes de parc de Parcs Canada ont uni leurs forces pour une 10ème année consécutive. Ce sont plus de 320 plaisanciers qui ont été sensibilisés lors de ces 9 jours de patrouilles.

Les activités nautiques battent leur plein dans le parc marin. Entre autres, des régates sont organisées à L’Anse-Saint-Jean, Tadoussac et Cap-à-l’Aigle. Des moments agréables pour les passionnés de la voile comme pour ceux admirant ces activités depuis la rive!
Les activités nautiques battent leur plein dans le parc marin. Entre autres, des régates sont organisées à L’Anse-Saint-Jean, Tadoussac et Cap-à-l’Aigle. Des moments agréables pour les passionnés de la voile comme pour ceux admirant ces activités depuis la rive!
Les activités nautiques battent leur plein dans le parc marin. Entre autres, des régates sont organisées à L’Anse-Saint-Jean, Tadoussac et Cap-à-l’Aigle. Des moments agréables pour les passionnés de la voile comme pour ceux admirant ces activités depuis la rive!

La régate Parcours du Boeu’ 2024. Crédit : Marina de Tadoussac
La Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk a orchestré deux éditions du Séminaire Wahsipekuk cette année. À bord du voilier-école d’ÉcoMaris, le premier départ a eu lieu avec des membres de la communauté âgés de 13 à 17 ans. Cette première édition jeunesse a été un franc succès. Un second voyage pour adultes s’est tenu au mois de septembre.
Le Séminaire Wahsipekuk donne une occasion unique aux participants de discuter de l’identité wolastoqey, du leadership autochtone et de l’importance du fleuve Saint-Laurent. Il permet aussi de se familiariser avec le programme de gardiens de Parcs Canada en plus d’apprendre les bases de la navigation.
La Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk a orchestré deux éditions du Séminaire Wahsipekuk cette année. À bord du voilier-école d’ÉcoMaris, le premier départ a eu lieu avec des membres de la communauté âgés de 13 à 17 ans. Cette première édition jeunesse a été un franc succès. Un second voyage pour adultes s’est tenu au mois de septembre.
Le Séminaire Wahsipekuk donne une occasion unique aux participants de discuter de l’identité wolastoqey, du leadership autochtone et de l’importance du fleuve Saint-Laurent. Il permet aussi de se familiariser avec le programme de gardiens de Parcs Canada en plus d’apprendre les bases de la navigation.
La Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk a orchestré deux éditions du Séminaire Wahsipekuk cette année. À bord du voilier-école d’ÉcoMaris, le premier départ a eu lieu avec des membres de la communauté âgés de 13 à 17 ans. Cette première édition jeunesse a été un franc succès. Un second voyage pour adultes s’est tenu au mois de septembre.
Le Séminaire Wahsipekuk donne une occasion unique aux participants de discuter de l’identité wolastoqey, du leadership autochtone et de l’importance du fleuve Saint-Laurent. Il permet aussi de se familiariser avec le programme de gardiens de Parcs Canada en plus d’apprendre les bases de la navigation.

Des jeunes en action lors du Séminaire Wahsipekuk jeunesse 2024.
L’arrivée des températures fraiches met tranquillement fin à la saison touristique. Que ce soit pour des excursions en bateau à moteur, à voile ou en kayak, 32 entreprises touristiques ont opéré dans le parc cet été. Sur les rives, 22 lieux du réseau découverte du parc marin ont accueilli des visiteurs.
En mer comme sur terre, de nombreux interprètes et naturalistes passionnés font découvrir les richesses de l’aire marine protégée.
L’arrivée des températures fraiches met tranquillement fin à la saison touristique. Que ce soit pour des excursions en bateau à moteur, à voile ou en kayak, 32 entreprises touristiques ont opéré dans le parc cet été. Sur les rives, 22 lieux du réseau découverte du parc marin ont accueilli des visiteurs.
En mer comme sur terre, de nombreux interprètes et naturalistes passionnés font découvrir les richesses de l’aire marine protégée.
L’arrivée des températures fraiches met tranquillement fin à la saison touristique. Que ce soit pour des excursions en bateau à moteur, à voile ou en kayak, 32 entreprises touristiques ont opéré dans le parc cet été. Sur les rives, 22 lieux du réseau découverte du parc marin ont accueilli des visiteurs.
En mer comme sur terre, de nombreux interprètes et naturalistes passionnés font découvrir les richesses de l’aire marine protégée.

Un groupe d’excursionnistes lors d’une des dernières sorties en mer de la saison. Crédit : Alice Cloutier-Lachance (Du Fleuve)
Dans le cadre des consultations publiques sur le projet d’agrandissement du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent, cinq événements de participation publique ont eu lieu. Au total, plus de 350 personnes se sont présentées aux événements tenus à Rimouski (Le Bic), Rivière-du-Loup, Kamouraska, Saint-Irénée et aux Escoumins.
Dans le cadre des consultations publiques sur le projet d’agrandissement du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent, cinq événements de participation publique ont eu lieu. Au total, plus de 350 personnes se sont présentées aux événements tenus à Rimouski (Le Bic), Rivière-du-Loup, Kamouraska, Saint-Irénée et aux Escoumins.
Dans le cadre des consultations publiques sur le projet d’agrandissement du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent, cinq événements de participation publique ont eu lieu. Au total, plus de 350 personnes se sont présentées aux événements tenus à Rimouski (Le Bic), Rivière-du-Loup, Kamouraska, Saint-Irénée et aux Escoumins.

Événement participatif de Saint-Irénée dans Charlevoix. Crédit : Jean-François Desgagnés
Le 13 décembre marque la fin de la période de consultations publiques du projet d’agrandissement du parc marin. Les nombreux avis reçus (dont les mémoires disponibles ici) permettront aux deux gouvernements impliqués de prendre une décision conjointe et éclairée à propos du projet.
Un rapport de consultations publiques sera publié en 2025.
Le 13 décembre marque la fin de la période de consultations publiques du projet d’agrandissement du parc marin. Les nombreux avis reçus (dont les mémoires disponibles ici) permettront aux deux gouvernements impliqués de prendre une décision conjointe et éclairée à propos du projet.
Un rapport de consultations publiques sera publié en 2025.
Le 13 décembre marque la fin de la période de consultations publiques du projet d’agrandissement du parc marin. Les nombreux avis reçus (dont les mémoires disponibles ici) permettront aux deux gouvernements impliqués de prendre une décision conjointe et éclairée à propos du projet.
Un rapport de consultations publiques sera publié en 2025.

Un sondage en ligne permettait de donner son avis sur le projet. Crédit : Audrey Mainguy
Quelques faits saillants…
Recherches et suivis scientifiques

Les organisations de recherche

Les sujets les plus populaires

Répartition des projets sur le territoire

Mesures de protection et de sensibilisation
Respect des limites de vitesse

des bateaux d’observation de mammifères marins ont respecté la vitesse maximale de 25 noeuds dans le parc marin. Le respect de cette limite de vitesse était de moins de 60% avant 2021.

des passages de bateaux d’observation de mammifères marins ont respecté la mesure de ralentissement à 20 noeuds dans l’embouchure du fjord du Saguenay. Le respect de cette limite de vitesse était de moins de 40% avant 2021.

nœuds est la vitesse moyenne de la marine marchande dans l’aire de ralentissement volontaire proposé à 10 nœuds dans le secteur d’alimentation des rorquals.

est le taux de présence de bateaux dans la baie Sainte-Marguerite entre juin et septembre. La fermeture de la baie à la navigation en été permet de réduire le dérangement des bélugas. Ce taux était de 25% avant l’implantation de la mesure en 2018.

capitaines et guides formés au Règlement sur les activités en mer dans le parc marin.

personnes sensibilisées aux bonnes pratiques de navigation dans le parc marin.
Tourisme et mise en valeur
Une offre touristique sur les rives et en mer


lieux de découverte sur les rives comprenant des quais et randonnées avec point de vue exceptionnel ainsi que des musées et centres d’interprétation.


entreprises offrant des activités en mer: croisières d’observation des baleines, excursions en kayak de mer, voile et plongée sous-marine.



Télécharger l’infographie (PDF 510 ko)